[Nsssssfw] Aled || Burgess ♥

Messages : 91 Plumes : 123 Date d'inscription : 30/01/2019

Euh ouais joyeux anniversaire.
#Burgess
C’était une journée un peu spéciale aujourd’hui quand même. Ton vingtième anniversaire même. Et même si ça ne changeait pas énormément de choses pour toi, c’était une occasion de te permettre pas mal de choses. Même si tu le faisais déjà en temps normal, enfin. Tu te le permettrais encore plus que d’habitude. Alors même si tu savais que tu devais travailler le lendemain, tu avais invité Anthony à venir passer la soirée, voire même la nuit vu comment vous étiez partis. T’avais clairement pas l’intention de le lâcher, du tout. Pour l’occasion, t’avais quand même pensé à prendre du vin, t’espérais qu’il aimait ça, au pire tu avais forcément autre chose dans ton frigo ou un des placards. Et vu tes talents culinaires absolument inexistants vu que tu n’avais jamais touché à une cuisine de ta vie, tu avais commandé, pas n’importe où non plus, même si pour le coup, tu l’avais plus fait pour bien recevoir le roux que pour ton anniversaire. Mais ça pouvait faire comme d’une pierre deux coups. Incroyable.

Encore fallait-il que vous ne vous décidiez à manger. Parce que vous vous étiez à peine retrouvés dans le long canapé pour boire tranquillement votre premier verre que tu t’étais montré excessivement collant. Même plus que ce que tu n’avais l’habitude d’être. En même temps, tu te sentais toujours légèrement mal de la fois où t’étais venu le trouver directement à son bureau en pensant qu’il voulait rompre avec toi, par message. Ce qui n’était absolument pas le cas. Et puis t’avais juste envie d’être le plus proche de lui possible. Et t’avais carrément envie de lui, mais ça, ça ne changeait pas vraiment de d’habitude. Sauf que là tout de suite, vous pouviez vous permettre absolument tout ce que vous vouliez. Dont le débarrasser totalement de son haut qui ne serait pas franchement utile pour la suite.Même si tu l’aimais énormément, tu préférais avoir un total accès à son torse.

Tu savais que tu t’étais dit que tu voulais prendre un minimum ton temps, ou en tout cas faire durer ça le plus de temps possible, pour lui procurer encore plus de plaisir, mais t’avais pas pu t’empêcher de passer une de tes jambes au-dessus des siennes pour pouvoir presque pouvoir t’asseoir sur lui. Ce n’était même plus que tu voulais être au plus proche de lui, c’est que t’en avais besoin et que tu n’allais clairement pas t’en priver. Comme de venir lui mordiller plus ou moins fort les endroits où il n’y avait pas assez de marques à ton goût . De toute manière il n’y en aurait jamais de trop.

Une fois que t’étais arrivé à ses lèvres, t’avais eu un peu de mal à les lâcher. Mais pour que ce soit plus confortable pour vous, ou en tout cas pour lui, tu l’avais fait se coucher, prenant juste le temps d’enlever ta chemise avant de venir te pencher sur lui et même presque totalement te coucher, en fait, c’était toujours plus pratique pour venir lui embrasser le cou et passer une de tes mains sous son pantalon pour venir le caresser, assez doucement au début, t’avais pas envie que la froideur de ta main ne le dérange. Mais lorsque tu t’étais fait un peu plus insistant, t’avais cru entendre un léger bruit, peu habituel. T’étais pas certain étant donné que vous aviez mis un peu de musique en même temps. Mais t’avais quand même un peu relevé la tête.

« ▬ T’as aussi…entendu quelque…chose ? »

T’avais pas envie de casser quoique ce soit, surtout que si ça se trouvait t’étais juste un peu parano, alors t’étais assez rapidement venu mordiller son oreille, en tirant légèrement sur un de ses piercings au passage. Tu ne savais même pas pourquoi tu t’en faisais, au pire ça devait un truc qui était tombé dans l’entrée.

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ft. ...

「 vous dérangez 」ft. Orwell

Beaucoup des moments que t'avais pu passer avec George étaient géniaux. La plupart, tu te souvenais pas d'un seul moment négatif, mis à part le malentendu que vous aviez vécu. Subi, plutôt. Est-ce que tu te remettrais un jour de ce moment, peut-être. Mais pas pour le moment. Au moins, ça t'avait conforté dans ton idée que oui, tu l'aimais et étonnamment, t'avais vraiment besoin de lui dans ta vie. Vraiment besoin de lui. Près de toi, le plus près possible, et le plus souvent possible. Alors oui, dès que t'avais l'occcasion de te trouver seul avec lui, calme, t'étais heureux. Vraiment heureux, et beaucoup plus reposé que d'habitude. C'était l'anniversaire de George aujourd'hui, et il aurait été hors de question que tu ne passe cette journée loin de lui. Tu voulais qu'il se sente le mieux possible, qu'il passe le meilleur anniversaire possible. Vingt ans, c'était quand même un âge cool eeet ça méritait une bonne fête d'anniversaire. Enfin fête, vous n'aviez pas non plus à vraiment bouger. Juste rester ensemble, et profiter de l'instant présent.

Et c'est ce que vous faisiez, et tu te sentais vraiment bien. Tu ne savais plus exactement à partir de quand vos caresses avaient pris cette tournure, mais ça ne te dérangeait pas. Loin de là. T'avais pas l'impression que vous ayez pu être aussi proches, mais ça faisait du bien. Le fait de savoir que vous aviez le temps de faire ce que vous vouliez, que vous soyez juste à deux, tranquilles, ça faisait vraiment du bien. Ses légères morsures aussi, y avait rien qui pourrait autant te détendre et te donner envie à la fois. Puis t'allais pas mentir, le fait qu'il soit presque assis sur toi était vachement pratique pour glisser tes mains sous sa chemise et lui caresser la taille. Peut-être la griffer d'un doigt ou deux de temps en temps, mais rien de bien prononcé. Quoi que tu rêverais de le voir couvert de marques de ce genre, t'avais quand même été subjugué par la beauté de sa peau en voyant son torse, mais ça ne t'étonnait pas vu comme il était juste magnifique en temps courant. Peut-être que la venue de sa main ne te rendait pas très objectif, mais c'était pas grave du tout. T'avais profité de votre proximité pour passer aussi une main sous son pantalon, en prenant ton temps. Et t'avais entendu un truc, mais ça t'avait pas alerté plus que ça.

« Y a peut-être eu un courant d'air.. ? »

Vous verrez assez rapidement si le bruit se reproduisait, de toute façon. Tu t'étais donc bien vite refocalisé sur lui, en fermant les yeux et en venant caresser sa fesse d'une main, et sa nuque de l'autre. Par contre tu ne t'étais pas du tout attendu à voir apparaître quelqu'un dans l'ouverture de la porte en rouvrant les yeux. T'avais même sursauté, sur le coup. C'était qu o i ça.

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Euh ouais joyeux anniversaire.
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Tu n'avais aucune idée de comment il faisait pour être aussi attirant, juste en existant et même quand il ne faisait rien de spécial. Même quand il n’était pas là et que tu pensais simplement à lui. Mais t’étais extrêmement heureux d’être ici, aussi proche de lui surtout, à ne rien te refuser. T’aurais eu un peu de mal de toute manière, surtout en sentant ses mains sur ta taille et les quelques griffures justes assez fortes pour arriver à te faire frissonner. Et ça te donnait encore plus envie de lui aussi, alors que t’aurais pas pensé ça possible. Mais tu ne doutais pas être tout sauf au bout de surprises avec lui plus positives les unes que les autres. T’aurais bien aimé passer un peu moins de temps à soupirer contre lui et plus à monopoliser ses lèvres ou simplement sa peau mais t’avais déjà aussi l’impression de presque brûler en sentant sa main.

Franchement, tout était parfait, sauf éventuellement tes cheveux qui faisaient un peu de la merde comparé à d’habitude, mais c’était bien le dernier de tes problèmes, t’étais nettement plus occupé à bouger légèrement contre lui, continuer de le caresser eet ne toujours pas te remettre d’à quel point il pouvait être incroyablement beau sous tous les angles possibles et inimaginable. Ni même à quel point il pouvait sentir bon, et cette odeur être enivrante. T’étais certain que maintenant tu pourrais la reconnaître entre mille, un peu comme le toucher de sa peau, qui te semblait nettement plus spéciale et agréable que celle de qui que ce soit d’autre.

T’étais tellement bien installé et bien parti que t’avais aucune putain d’envie de bouger pour aller voir ce que ça avait pu être. De toute manière ce n’était pas non plus comme si c’était le genre d’immeuble où on laisserait rentrer n’importe qui, avec des portes à deux balles.

« ▬ Sûrement…oui, et c’est pas comme si quoique ce soit pouvait être plus intéressant que toi non plus. »

T’avais profité du fait qu’il ferme les yeux d’ailleurs pour lui faire des marques un peu plus prononcées dans le cou, souriant un peu plus en sentant une de ses mains sur ta fesse. Mais en le sentant sursauter, t’avais un peu relâché son membre, peut-être que tu y étais allé un peu trop fort ? T’avais voulu lui demander si tout allait bien, mais un bruit que tu connaissais un peu trop bien t’avais fait t’arrêter, un raclement de gorge, que t’avais identifié comme étant celui de ton père un peu avant de le voir près de la porte là. Qu’est-ce qu’il foutait lA. Pourquoi il n’avait pas préveNU. Au moins, il avait l’air d’être seul, c’était actuellement le seul bon point de la situation. Tu t’étais un peu redressé, quand même, et retiré assez doucement la main du pantalon d’Anthony aussi, en fait, même si il n’y avait aucune chance qu’il ne puisse douter de ce que vous étiez en train de faire. T’étais peut-être en train de faire un cauchemar, ça expliquerait pas mal de choses. Ca ne t’empêchait pas de prendre la parole en fait, plutôt que de rester à ne rien dire eet le regarder en ne comprenant pas.

« ▬ Je…Ne savais pas que vous alliez passer aujourd’hui, ni même que vous étiez au…Japon. Qu’est-ce que vous…Faites ici ? »

Une très bonne question. Tu aurais pu avoir le réflexe de ramasser ta chemise, et de la remettre d’ailleurs, mais non. T’étais resté sur Anthony avec une de tes mains sur son bras, m’ais t’avais l’impression que ce serait encore plus ridicule de commencer à bouger et te rhabiller alors que t’étais certain qu’il n’allait pas rester pendant des heures. Il ne s’était jamais intéressé à un seul de tes anniversaires, ni même à quoique ce soit que tu pouvais faire personnellement.

« ▬ Je voulais te faire une surprise pour ton.. anniversaire, mais il semblerait que cen ne soit pas le bon moment. Je peux savoir qui vous êtes ? »

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「 vous dérangez 」ft. Orwell

T'avais l'impression qu'il se sentait bien comme ça, que t'arrivais à lui apporter du bonheur et du plaisir, et ça te rassurait tellement par rapport à l'autre jour. Qu'est-ce que t'aurais fait, si tu l'avais totalement perdu ? T'aurais pas apprécié non, c'est certain, mais t'étais même pas certain que tu t'en serais remis en fait. T'avais bien compris maintenant, c'était peut-être une faiblesse, mais t'avais réellement besoin de lui. Et pas qu'un peu, c'était grave, mais tu vivais avec et ça t'allait totalement. Non mais t'avais l'impression de connaître de nouvelles choses avec lui. Rien qu'aimer, déjà Et aussi le fait de n'avoir envie que de lui. Et t'aurais jamais cru ça possible. Maiiis c'était bien le cas, et t'avais clairement envie de lui. Surtout là maintenant, c'était sûr. Surtout en le sentant frissonner. T'aimais vraiment le voir comme ça, et t'aurais vraiment vraiment aimé que ça puisse continuer comme ça. Parce que vous étiez tellement bien partis pour passer un bon moment. Et puis il y avait eu ce bruit. T'avais souri en l'entendant parler et tu t'étais redressé pour l'embrasser, plus tendrement que ce à quoi tu t'étais attendu mais ça t'allait totalement. Mais alors vraiment totalement. Tout te convenait tant que c'était avec lui. Pas la venue d'une nouvelle personne, non.

Le fait est qu'ils semblaient se connaître. T'avais essayé de connecter tes deux neurones fonctionnant encore, et t'en étais venu à la conclusion que peut-être qu'il s'agissait de son père en fait, vu la manière dont ils se parlaient. Ahh génial. Rencontrer les parents de George ne t'auraient pas dérangé, si t'y avais été un minimum préparé et que vous n'aviez pas été dans cette position. T'avais un peu dégluti, tu ne t'étais pas attendu à ce qu'il ne te parle directement. Incroyable. Tu t'étais un minimum redressé, quand même.

« Anthony Burgess. Je suis.. Un ami de George. Enchanté.. ? »

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Tu l’aimais tellement, t’aurais même du mal à l’exprimer correctement. Heureusement que tu n’avais pas à le faire oralement là tout de suite. Avec le gestes, c’était nettement plus facile. Du moins c’était ce que tu te disais, que tu ne laissais pas non plus trop de doutes, avec tout ce que tu pouvais faire là tout de suite.T’avais aussi l’impression d’être à chaque fois de plus en plus sur de toi plus le temps passait et ce que tu pouvais ressentir. Ah bah t’avais qu’une envie, c’était que vous puissiez remettre ça le plus souvent possible. Même si tu profitais déjà énormément là tout de suite et que tu n’allais pas en perdre une seule minute hein. Tu ne t’étais pas spécialement attendu non plus à ce qu’il t’embrasse tendrement de la sorte, mais ce n’était pas du tout désagréable, t’aimais bien aussi. Enormément même.T’avais pas résisté à le lui rendre de la même manière en lui caressant un peu la joue.T’aurais tellement voulu continuer, mais ça aurait été un peu difficile avec l’arrivée de ton père, en fait.

Tu savais bien qu’il avait un double des clefs, si jamais il y avait un problème, et vu qu’il n’y en avait aucun là tout de suite, et tu te doutais qu’il n’allait pas juste être là pour ton anniversaire, qu’il devait sans doute yyy avoir autre chose. Maintenant tu doutais un peu qu’il l’aborde là tout de suite. T’avais pas du tout envie non plus qu’il ne s’attarde ici, en fait. Et sans doute que lui non plus. Surtout que tu te mettait un peu à la place d’Anthony, ce serait juste affreux.

« ▬ Un ami ? Tu m’as habitué à beaucoup mieux que ça, George. »

Aah, bah ça faisait toujours plaisir à entendre ça. Enfin, ce n’était pas que tu te fichais de son avis,, mais t’y portais un peu moins d’attention qu’avant. Mais ça t’avais quand même pas mal saoulé hein. Surtout pourquoi ton anniversaire devait mal tourner en fait. T’avais très envie dee le sortir, mais tu ne pouvais pas décemment faire ça. En tout cas pas de toi-même. Il ne te laisserait pas faire non plus et tu le comprendrais. T’avais pas seulement souhaité qu’il parte en fait, t’avais fini par le lui ordonner silencieusement, même si tu savais que ça ne serait pas vraiment suffisant, que certes ton pouvoir ferait effet mais ça ne l’empêcherait pas de revenir d’ici un certain temps, et tu doutais fortement pouvoir lui ordonner de retourner en Angleterre directement, en plus les gens au courant se poseraient pas mal de questions. T’avais en même temps fortement espéré qu’il oublie tout ce qu’il avait pu voir. T’avais remarqué d’ailleurs quelque chose de bizarre dans son regard, avant qu’il ne parte. T’avais un peu froncé les sourcils, même sa manière de marcher était un peu bizarre. Et ce qui t’avais refait te focaliser sur le reste, c’était d’avoir senti un truc sur ta main. Pourquoi t’avais du sang dessus. Pourquoi il venait d’y avoir duu sang sur le torse d’Anthony maintenant. T’avais pas mis longtemps à trouver en fait, tu saignais du nez. CoOL. Meilleur moment putain. Même si tu savais que ça devait être à cause de ton pouvoir, ça t’arrivait de temps en temps, surtout quand t’essayais de faire quelque chose d’un peu trop gros ou difficile. Bon, au moins tu pouvais te dire que l’oubli était réussi, à moins que ton pouvoir n’ait juste aussi décidé de te faire chier hein. Mais t’allais peut-être prendre le mouchoir que t’avais dans la poche de ton pantalon eet mettre un peu la tête en arrière.

« ▬ …Je suis vraiment désolé pour…ça. Normalement il ne…devrait pas revenir. J’aurais carrément dû laisser mes clefs sur la porte. »

Au moins comme ça il aurait été forcé de sonner oUI. Bon en attendant si ton nez pouvais un peu arrêter de pisser le sang, ça pourrait être pas mal aussi.

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「 vous dérangez 」ft. Orwell

Tu comprenais assez clairement que le père de George n'approuvait pas vraiment ta présence. Jure, t'aurais pu le deviner tout seul. Soit. C'est dommage, t'aurais plutôt bien aimé faire bonne impression. Maiiis c'était probablement trop tard, et t'étais sûr que tu ferais mieux de ne plus parler pour le moment, histoire de ne pas aggraver votre cas. T'avais juste posé ta main sur la cuisse de George, tu ne savais pas si ça pouvait être utile mais t'avais envie qu'il sache au moins que t'étais toujours là pour lui. L'atmosphère était assez pesante et stressante, et t'attendais juste qu'il parte même s'il n'avait pas vraiment l'air de vouloir le faire. Super. T'avais été plutôt surpris de le voir tourner les talons du coup, mais en regardant George t'avais fini par te douter du fait qu'il utilisait son pouvoir. C'était pas con du tout, mais t'avais juste commencé à t'inquiéter quand t'avais vu qu'il commençait à saigner du nez. Ahh, t'espérais que c'était pas trop grave ? Même si c'était 'juste' un saignement de nez, ça avait pas l'air de vouloir s'arrêter. Tu t'étais totalement redressé en le tenant

« T'excuses pas, on pouvait pas vraiment savoir. Ca va ? »

Autant t'en assurer, oui. T'étais venu lui caresser les cheveux, en lui souriant un peu. C'était pas le sang qui allait te déranger, mais t'aimerais bien qu'il aille juste biEN.

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La surprise passée, t’avais l’impression d’être surtout agacé. Certes il ne pouvait pas savoir, toi non plus d’ailleurs, mais il aurait pu prévenir un minimUM. Ca te saoulait pas mal qui puisse arriver comme ça en empiétant dans ton intimité alors que t’étais clairement la dernière personne à pouvoir te plaindre là-dessus hein. Enfin, s’il n’avait pas l’air de juger comme ça là, ça aurait encore été. Si t’étais proche de lui aussi. Sauf que tu ne l’étais absolument pas, en fait. Que t’avais du passer plus de temps avec les gens qui te gardaient quand il n’était pas là qu’avec lui.Mais ce qui t’avais pas mal calmé, c’était la main d’Anthony. T’avais d’ailleurs été poser une des tiennes dessus. Heureusement qu’il était là, oui. T’étais clairement pas habitué à ne pas maîtriser une situation et tu détestais ça. De toute ton âME. Ah bah t’avais clairement eu aucun remord à utiliser ton pouvoir. Ce n’était pas la première fois ni sans doute la dernière que tu le ferais sur lui. Fallait pas être chiant non plus là comme ça. Bon si t’avais pu franchement éviter de saigner du nez, ça serait un peu mieux. Mais tant que tu pouvais être près du roux, ça t’allait hein. Surtout qu’il s’était redressé.

« ▬ Ouais, pas du tout mais ça me saoule un peu. Beaucoup. Je crois, oui, ça…m’arrive assez souvent mais c’est généralement moins…violent. J’ai essayé d’effacer son souvenir en même temps, ça doit être ça qui est…Mal passé. Je t’en mets partout en plus, c’est pas que j’aime pas te voir avec du sang, du tout, mais je préférerais quand même que ce ne soit pas le tiens ou…le mien.

Totalement. Même si bon, là tu savais que ce n’était pas quelque chose de grave hein. T’avais quand même réussi à sourire un peu en sentant sa main dans tes cheveux, ça serait un peu mieux, surtout que normalement vous pourriez être totalement tranquille une fois que t’aurais réussi à arrêter ton saignement. Mais de ta main libre, tu pouvais toujours venir un peu lui caresser la joue, même si tu voyais pas exactement ce que tu faisais.

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「 vous dérangez 」ft. Orwell

Ca te saoulait. Parce que c'était l'anniversaire de George, et t'étais presque certain que maintenant c'était un minimum g^ché. Ou du moins que c'était trop négatif pour que ce soit le meilleur anniversaire qu'il ait pu avoir. Alors que c'était le premier qu'il passait avec toi. Enfin bon, si ça se trouve tu te trompais et il s'en remettrait très rapidement, mais quand même. Tu voulais juste qu'il soit le plus heureux possible. Et le plus relaxé possible. Et là tu pourrais être heureux aussi. Puis au passage, t'aimerais bien qu'ill ne se vide pas de son sang par le nez.

« Je comprend. Ah ouais.. ? C'est vrai que ça doit demander plus d'énergie que d'habitude, tu te sens pas spécialement mal.. ? Ahh, t'inquiètes pas pour ça. Dans d'autres circonstances j'aurais probablement adoré. »

T'avais un peu souri. T'aimerais surtout qu'il aille bien, ahh. Au moins t'avais senti sa main sur ta joue, et c'était agréable, et ça t'aidait un peu à te détendre par rapport à ce qui s'était passé. Puis bon, comme ça, tu pouvais clairement lui embrasser le cou.

« Hésites pas à me dire si tu as besoin de quoi que ce soit. »

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Tu pouvais voir le bon côté des choses, et te dire que Anthony était toujours, là qu'il n'avait pas essayé de partir ou quoique ce soit. Il aurait pu. Tout comme ça aurait pu le saouler et s'être énervé. Mais t'avais juste l'impression que vous alliez pouvoir continuer votre soirée tranquillement, dès que ton saignement se serait arrêté. Parce que bon, ce n'était pas du tout dans tes plans de perdre connaissance ou quoique ce soit. Bon, t'en étais clairement pas la heureusment mais c'était assez chiant quand même. Surtout que tu voulais passer du bon temps et pas vous en faire perdre à tous les dEUX.

“ — Ouais, c'est un peu chiant mais quand je l'emploie trop longtemps ou trop de fois dans un...temps assez court ça me le fait souvent. Je pense oui, je suis sans doute pas sensé toucher à la mémoire, je savais même pas que je... Pouvais faire ça. Enfin je risque pas vraiment de réitérer si ça me fait déjà ça pour quelques minutes. J'ai... Un peu mal à la tête mais à part ça, je crois que ça va. Mmh, moi aussi je pense, surtout que le rouge te va vraiment bien. Un peu comme tout, oui. „

Ce serait un peu bête de ne pas le dire hein. Même très. T'avais longuement soupiré en sentant ses lèvres dans ton cou. Ça, ça faisait du bien, comme sa proximité. Et t'avais pu lui caresser doucement les cheveux en même temps. Pourquoi ils étaient tellement agréables au toucher aussi.

“ — Mmh, à part toi, je n'ai besoin d'absolument rien ni personne. Juste que ça s'arrête, mais je crois que ça va déjà un peu mieux. „

T'étais certain que d'ici quelques minutes çaa serait comme si de rien était. Ça ne t'empêchait pas de lui sourire et de lui masser un peu la nuque.

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C’était quand même impressionnant, son pouvoir. T’étais souvent en admiration devant lui, mais alors là tu devais admettre que c’était pas mal décuplé. Tu t’estimais chanceux de pouvoir le connaître, et de pouvoir être avec lui. C’était rare que t’admires quelqu’un d’autre que toi mais t’étais habitué, maintenant. Il méritait clairement toute l’admiration du monde.

« Dans un sens c’est... C’est génial, tu peux faire plein de trucs. T’es vraiment super impressionnant. Vraiment. D’accord, tu veux te reposer un peu ? C’est gentil. »

T’avais souri, t’aimais bien le rouge. T’allais continuer de le tenir contre toi, en t’assurant toujours du coin de l’œil qu’il allait bien. Parce que ça fait t’inquiétait toujours, tu voulais t’assurer de son bien être. Mais t’étais moins stressé, surtout s’il te caressait les cheveux.

« Ca va, parce que je comptais bien rester ici. Parfait, j’suis sur que ça va vite s’arranger. »

T’espérais, sinon ça t’inquiéterait vraiment là. Mais pour le moment tout allait bien, donc autant ne pas s’inquiéter et faire en sorte sûil aille juste bien. Lui caresser le dos devrait aider.

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Au moins si par le plus grand des hasards on t’appelait pour te prévenir d’une mission ou un autre truc du genre qui serait urgent, tu pourrais totalement les envoyer chier en disant que t’étais pas trop en état. Même si tu pouvais toujours marcher et de vivre plus ou moins normalement, tu sentais bien que si tu utilisais encore ton pouvoir ça allait juste empirer les choses, en fait. Et ce n’était clairement pas ce que tu voulais. Heureusement, tu ne comptais pas non plus encore trop l’utiliser. Même pas du tout, tant que ton père ne se décidait pas à revenir, mais il y avait quand même assez peu de chance pour que ce ne soit le cas.

« ▬ O-Ouais c’est vrai, mais ce serait mieux si mon physique pouvait suivre un peu..mieux, mais on ne peut pas tout avoir j’imagine. Aah, pas autant que toi je t’assure ! Ca…devrait aller, j’ai vraiment pas…envie de bouger. »

Tu lui avais un peu souri, parce que t’en étais capable et que ce serait plus agréable aussi pour tout le monde. Et puis tu te sentais même un peu mieux, et ça avait même l’air de se calmer un minimum. Non mais ton anniversaire n’allait pas être gâché par ça quand même hein. Vous alliez certainement en rire un peu plus tard. Peut-être pas tout de suite mais bon.

« ▬ Aah moi aussi très sincèrement, j’ai rarement été aussi bien installé de toute ma vie. Oui, d’ici dix minutes on en reparlera même plus. »

Bon t’avais un peu tout frotté du mieux que tu le pouvais avec ton mouchoir et avant qu’il n’y ait de nouveau quoique ce soit, tu t’étais un peu penché pour aller l’embrasser, parce que t’en avais envie depuis un petit temps quand même.

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「 vous dérangez 」ft. Orwell

C'était pas toujours que t'avais l'impression d'être inutile et de ne pas savoir aider, mais t'aimais pas trop ça. En même temps tu n'avais pas envie de trop bouger, parce que tu avais peur d'une manière ou d'une autre empirer son saignement de nez qui avait l'air de bien vouloir se calmer pour le moment. T'espérais que ça se calmerait totalement et que ça n'allait juste pas empirer et le faire se sentir vraiment mal, il ne méritait pas ça et certainement pas le jour de son anniversaire. Au moins, une chose était sûre, tu allais totalement rester avec lui et écouter la moindre de ses demandes.

« C'est sans doutes parce que tu n'as pas l'habitude de pousser aussi loin, peut-être que ça viendrait avec de l'entraînement mais franchement, je préfère que tu te ménages et que ça ne se reproduise plus, je voudrais pas que t'aies des problèmes plus important.. Ohhh si, tout autant, si pas plus. Alors ne bouge pas du tout, t'en as vraiment pas besoin pour le moment. »

Et puis même s'il avait par après besoin d'aller quelque part, tu pourrais l'aider à y aller et faire en sorte qu'il n'ait pas à se fatiguer. Et puis t'avais pas trop envie de bouger un peu pour le moment, vous étiez très bien ici, jusque maintenant. Tu allais continuer de ne pas le quitter des yeux, et caresser un peu sa cuisse qui était juste à portée de ta main.

« Parfait alors, t'es sûr que tu ne manques de rien ? J'en suis certain, oui. »

Tu n'avais pas manqué de sourire lorsqu'il était venu t'embrasser, et tu ne t'étais pas privé de passer ta main dans ses cheveux pour un peu plus approfondir le baiser pendant que ton autre main venait un peu caresser son torse. Autant que ça puisse lui être un maximum agréable.