尾崎 紅葉 < I will protect you < Kôyô
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尾崎 紅葉 < I will protect you < Kôyô

Sujet: 尾崎 紅葉 < I will protect you < Kôyô    Mer 24 Juil - 1:41
Ozaki Kôyô
Ozaki Kôyô
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Date d'inscription : 23/07/2019
尾崎 紅葉 < I will protect you < Kôyô  Unknown

Ozaki Kôyô



Identité

Nom Kôyô
Prénom(s) Ozaki
Surnom Kō / Ane-San
Âge 26 ans
Groupe Mafia
Rang / Métier Cadre
Nationalité Japonaise 
Orientation sexuelle xxx
AvatarOzaki Kôyô, Bungou Stray Dogs

Physique

尾崎 紅葉 < I will protect you < Kôyô  Unknown
Tu te démarques. Facilement. Très facilement. Tu as vécu dans un univers sombre. Sombre par les couleurs qui le bordent. A vrai dire, tu es lassée de ce noir que porte la plupart des mafieux, ces vêtements sans teintes, sans légère fantaisie de couleur. (La fantaisie ? Il ne faut pas abuser non plus). Tu as des cheveux, roses. Certains diront roux, d'autres roses. Mais tu sais à quoi tu ressembles, la parfaite couleur de cheveux que tu possèdes. Et ils sont roses. Pas vives, certes. Un certain rose tirant vers le orange, très léger. Tu as des yeux améthystes. Perçants. Un regard qui se veut froid si tu le désires, tout comme réconfortant pour le peu de personne que tu considères comme proche. Sur ces yeux, du maquillage. Pas abusé, oui, mais il y en a et il se voit. Du fard à paupière, la plupart du temps orangé. Rien de plus, comme ton visage qui se veut assez neutre, malgré les quelques touches de  couleur que tu mets, comme sur tes fines lèvres par exemple, sur lesquelles tu laisses du léger rouge à lèvre, toujours en finesse.


Si tu te démarques de par tes couleurs faciales, le reste de ton physique aussi, possède ces couleurs. Il faut tout de même préciser que tu es assez grande, un mètre soixante et onze au compteur, et tu n'en es pas peu fière. Tu es fine, élégante. Etre élégante est un peu ton mot d'ordre, et l'on le confirme quand on voit de quoi es-tu souvent vêtue. Tu portes des kimonos. Souvent. Pour ne pas dire tout le temps. Même si parfois, à contre-cœur, tu troques ces derniers contre des costumes noirs. Pour te fondre dans la masse durant des missions diverses et variées. Tes kimonos sont précieux, très précieux. Tu y tiens énormément. Tu portes à peu près la même chose, au niveau des tissus. Tant qu'ils sont colorés, soyeux, élégants, et parfois dotés de motifs fleuris, cela te plait énormément.

Caractère


尾崎 徳太郎 < « You no longer have to wield that blade in search of a place where you can belong. I will protect you. »

Léger sourire sur tes fines lèvres. Un rictus franc qui veut tout dire, sauf de la gentillesse envers n'importe quelle personne. Sauf peut-être les personnes que tu considères comme proches. Mais elles sont si peu nombreux. Cela pourrait être triste. Mais cela ne l'est pas et tu le vis très bien ainsi. Tu es quelqu'un de mature, extrêmement. La fougue de la jeunesse n'étant pas une chose que tu connais ni-même que tu affectionnes tout particulièrement. Tu préfères être sérieuse, voir même stricte dans certains cas. Avec le temps, ton caractère s'est forgé. Ce n'est sûrement pas le meilleur qui soit. Mais être dans la mafia ne vous permet pas d'être doux comme des agneaux. Pourquoi l'être. Quand on te regarde pour la première fois, on te trouve gracieuse, élégante. Et tu l'es. Mais généralement, ces personnes là ne se focalisent juste sur le physique que tu possèdes. C'est pour cela que tu leur montres, sans aucune pudeur ni même crainte, ton côté bien plus sombre. Plus sadique si tu t'y met sérieusement. Tu es parfaitement consciente du fait que tu es clairement cynique sur les bords, mais tu ne fais rien pour y remédier. Tu ne veux pas changer après tout. Tu es très bien comme tu es.


Dû à l'échec de ta fuite de la mafia, tu ne crois plus en l'amour. L'espoir. Cela te dégoûte, te répugne. Ces sentiments appartiennent à la Lumière. Ce monde dont tu ne crois plus en rien. Tu ne trouves plus aucune qualité à la Lumière. Tu penses même que cette dernière peut-être très dangereuse pour quiconque ayant grandi dans les Ombres de la mafia. Comme Kyôka, tu ne voulais pas qu'elle soit aveuglée par cette lumière qui n'est que mensonge. Une non-réalité. Il est vrai que tu peux te montrer assez protectrice, notamment envers Chûya et Kyôka. Tu serais prête à tuer toutes les personnes qui daigneront les utiliser, ou les blesser. Volontairement ou non. Tu peux te montrer également maternelle. Cela est très rare, voir même jamais le cas, mais il peut arriver que tu te prennes pour la mère de tes deux protégés. Sûrement pour les réconforter quand ils sont au plus bas. 


Tu peux être pacifique quand tu le désires, car tu n'es pas non plus une machine à tuer. Un être sans âme qui s'attaque à tout ce qui bouge. Tu n'es jamais fermée à certaine conversation, bien que si cette dernière t'énerve, tu sortiras ton sabre sans aucune once d'hésitation. Tu es fidèle à la mafia et également quelqu'un de confiance quand il s'agit de t'envoyer dans des missions dangereuses, voir compliquées. Tu arrives toujours à tes fins et ce, qu'importe la manière que tu utilises. Tu as un but, tu y tiens. Point. Tes méthodes peuvent se montrer cruelles, immorales. Mais la vue du sang ne t'a jamais choquée. Au contraire, tu y es même habituée. Tu es juste le résultat d'une femme ayant vécue depuis bien longtemps dans l'ombre de Yokohama.



Histoire


Ce serait long et fastidieux, de décrire parfaitement le début de ta vie. Sûrement que tu ne veux point en parler. C'est le cas. Pourquoi parler du passé alors que tu ne veux pas en faire mention. Même pas forcément par honte. Mais tu n'es pas ce genre de demoiselle qui daigne parler de son passé de long en large et en travers dans l'espoir d'avoir une quelconque attention de qui que ce soit. Le seul détail que tu pourrais dire, c'est que tu es pratiquement sûre d'avoir passé bien plus que la moitié de ta vie à la Mafia. Y ayant trouvé ton univers. Actuellement, tu ne peux pas te voir autre-part que là-bas. Bien qu'il y avait eu quelques rebondissements avant que tu ne deviennes une entière fleur de l'ombre. Tu es tout de même née un dix janvier. Mais tu ne souhaites pas que l'on te souhaite « Joyeux Anniversaire », ce qui explique pourquoi tu ne dis pas ta date de naissance. Pourquoi souhaiter un joyeux jour dans un monde qui n'est pas joyeux. Ni même positif quand on y regarde plus en détail. 


Au début de ta présence à la mafia, tu n'étais qu'une simple subordonnée. Quelqu'un qui est là simplement pour répondre aux ordres que l'on pouvait te donner. Rien de bien excitant, tu l'admets. Mais tu ne bronchais pas. (Ce ne serait pas digne d'une femme telle que toi). Tu étais fidèle à la mafia déjà à l'époque, mais cela n'a pas duré. Quand tu L'as rencontré. Un homme, qui semblait déjà banal. Plus que banal quand y repense. Mais pour toi, à tes yeux, il ne l'était pas. Il était différent. Dès que tu l'avais aperçu, tu sentais bien ton cœur battre comme il ne l'avait jamais fait avant. Étonnante constatation. Ton temps libre, tu le passais uniquement avec Lui. Tu ne comprenais toujours pas pourquoi tu te sentais aussi différente quand tu étais auprès de lui, mais cela n'était pas dérangeant, c'était même agréable. Tu compris que ce n'était qu'une sensation que la Lumière peut apporter.


Cela aurait pu continuer, longtemps. Tu voulais que cela dure éternellement, surtout après que vous ayez daigné vous avouer mutuellement vos sentiments. (Puérile erreur que tu ais pu commettre). Sauf que cet homme faisait parti d'un autre monde. Celui de la Lumière. Un vaste décor que tu ne connaissais pas. Mais que tu voulais connaître, si cela te permet de vivre auprès de lui. Avec lui, jusqu'à la fin de ta vie, tu es prête à passer le capte. La fuite. Tu avais osé fuir la mafia. Du moins, tu as également essayé. 


« Je n'aurais jamais dû. »

Tu n'aurais jamais dû. 

Comment avais-tu pu être aussi naïve. Penser que la Mafia Portuaire tu laisserais partir aussi facilement. Une seconde erreur de ton passé. Ils t'avaient rattrapée. Soit. Ils auraient pu s'arrêter là. Ils auraient pu. Mais pour être surs que cela ne se reproduira point, ils l'avaient tué. Massacré devant tes yeux naïfs et remplis d'espoir. Tu te souviens parfaitement du crie que tu as pu pousser. Cette haine que tu avais à l'égard de ton supérieur, qui en avait donné l'ordre. Au final, la Lumière n'est pas faîte pour toi. Car elle fait mal. Tu as tenté de suivre un être qui n'a pas vécu dans le monde où tu as été baignée. Et cela lui a valu la vie. A partir de ce moment, ta rancœur envers l'actuel parrain de la mafia se faisait ressentir. Rien que par tes regards, tes gestes, tes paroles. Tout.


Mais heureusement pour ta haine, il n'avait pas fallu longtemps avant qu'il soit vraisemblablement considéré comme mort. Mort d'une maladie grave. Tu n'étais pas totalement certaine du diagnostique d'Ōgai, et encore moins sûre des paroles qu'il proclamait. Qu'il serait le successeur de feu le parrain. Soit. Tu n'allais pas totalement t'en méfier, tu étais même forte contente qu'il soit mort. Tu prenais ça comme une légère vengeance personnelle. Tu as même commencé à entretenir des liens de confiance avec Ōgai, fort étonnant. Mais au moins, tu étais montée en grade, devenue cadre. Tu te sentais bien mieux comme ça, car tes idéaux avaient changé au même moment où le parrain avait changé. 


Un jour, Ōgai te parlait de quelqu'un. Un nouveau subordonné tout juste âgé de quinze années. Tu étais chargée de lui, étant ton subordonné. Tu ne comprenais pas pourquoi, mais tu avais tout de même accepter de le prendre sous ton aile, et lui faire comprendre qu'il ne fallait pas s'en prendre au protégé brun d'Ōgai, au risque d'avoir de sérieuses réprimandes. Il a fini par te considérer comme une grande sœur. Tu étais réticente à cela au début, mais après, tu trouvais ça agréable. Dorénavant, tu tiens énormément à Chûya Nakahara.





Anecdotes


Tu aimes tout particulièrement la couleur de l'higanbanaTu as une garde-robe immense, essentiellement composée de kimonoTu n'as aucun animal de compagnie et c'est tant mieux



Golden Demon


金色夜叉, Konjiki Yasha > Ton pouvoir te ressemble. Il s'assemble avec toi, avec ton esprit. Tu peux faire apparaître un fantôme. Un grand spectre à taille humaine, visible de tous. Si prévisible alors, si ses coups sont visibles, si sa présence est indiscrète. Mais telle est la première erreur que l'on pourrait faire, prendre de haut ce fantôme. Ce dernier, que tu as nommé Yasha, est une jeune femme. Belle. Divinité oubliée. Elle est armée. Elle peut blesser sans être apte à recevoir le moindre coup en retour. Bien pratique. Elle est donc dotée de deux armes. Deux sabres, plus exactement. Aiguisées, si bien que transpercer un corps humain ne présente aucune difficulté pour Yasha. Si ta capacité se veut déjà puissante, la manière dont tu peux l'utiliser est également pratique. Imprévisible. Tu peux donner tes ordres à Yasha sans dire un seul mot, la guidant par l'esprit et tes pensées.


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